Encore de la littérature
jeunesse sur le blog, et encore de la dystopie, mais il s’agit sûrement de la
dernière avant un long moment. Dans « Promise »,
le lecteur découvre un monde futuriste dans lequel la Société décide de tout :
elle décide avec qui vous allez vous marier, quel travail vous allez effectuer
et même quand vous allez mourir, soit disant afin d’améliorer l’espérance de
vie et surtout mettre fin à toute sorte de maladie.
Dans Promise, l’auteur offre
un univers très complet, que j’ai trouvé particulièrement intéressant, car cela
va très loin. La Société contrôle tout, à tel point que même la culture est
contrôlée et surtout quantifiée, ainsi que le savoir des habitants. De ce point
de vue là, c’est un roman dystopique très réussie j’ai trouvé. Le problème, c’est
que cela s’arrête un peu là.
Dire que je me suis ennuyée
pendant ma lecture serait peut être exagéré, mais disons que je ne cessais de
me dire « mouais, ce n’est pas terrible quand même ». Le problème c’est
que ce roman a de nombreux points commun avec l’univers de Delirium qui est
pourtant bien moins construit qu’ici, mais du coup cela manquait de nouveauté
pour moi. Et le problème numéro 1, c’est qu’il y a bien trop de dialogue et
pas assez de descriptions !!! Du coup ce n’est pas franchement
intéressant, il n’y a pas de réflexion poussée, alors qu’il y a vraiment
matière. C’est dommage, car cela donne un rendu que j’ai trouvé un peu
superficiel.
Je ne sais pas encore si je
lirai le prochain tome ou non, pour l’instant ce n’est pas prévu au programme,
à voir si j’ai l’occasion de le trouver à un prix défiant toute concurrence…
1 commentaire:
Humm, je ne suis pas pressée de découvrir cette saga alors, c'était déjà le cas avant, aucun avis ne m'a vraiment donné envie de la découvrir et là ça confirme un peu ce que je pensais. Je pense que la dystopie pour adulte devrait plus être ma tasse de thé !
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