Présentation de l’ouvrage
Lena
vit dans un monde où l’amour est considéré comme la pire des maladies. Un monde
où tous les jeunes subissent à leur majorité une opération du cerveau pour être
immunisés. À quelques mois de ses dix-huit ans, Lena aspire presque à subir à
son tour le Protocole car depuis toujours amour rime pour elle avec souffrance
et danger. Jusqu’à ce qu’une rencontre inattendue fasse tout basculer. Avant,
tout était simple, tout était organisé. Mais est-ce vraiment vivre que de
laisser la société tout prévoir pour vous ? Vos amis, vos amours et votre
avenir ? Imaginez qu’on vous prive de tout sentiment. Que la liberté ne soit
plus qu’un vieux souvenir dénué de sens. Jusqu’où iriez-vous pour garder le
droit d’aimer ? Plongez dans l’inoubliable trilogie DELIRIUM.
Mon Avis
Je poursuis ma découverte des romans jeunesses et des romans
dystopiques avec la saga Delirium, et elle semble prometteuse ! J’ai été
bien plus séduite par ce tome 1 que par le tome 1 de Divergent, qui m’avait
fait l’impression d’être un peu bancal. Dans Delirium, la société futuriste
dont il est question est très bien mises en place et très bien décrites. On peut
même estimer que le roman n’avance pas trop à certains moments, mais
personnellement cela ne m’a pas dérangé.
Dans ce monde, l’amour est donc une maladie donc chacun doit être
guéri à l’âge de ses 18 ans. Ce qui devient rapidement intéressant, c’est que l’amour
qui est guéri ne touche pas uniquement l’amour romantique ou passionnel que l’on
éprouve lorsque l’on est en couple, mais également l’amour paternel, maternel
ou encore fraternel, ce qui est finalement encore plus terrifiant, et donne du
coup du relief à l’histoire. J’avais en effet peur que l’histoire soit un peu
niant niant, mais ce n’est finalement pas le cas, même si effectivement, l’auteur
s’appesanti un beaucoup sur l’histoire d’amour de Lena. Mais encore une fois, j’ai
trouvé que cela était bien mené, bien travaillé, car tout n’arrive pas d’un
seul coup, mais le roman suit une évolution, tout comme le personnage principal
qui évolue elle aussi sous les yeux du lecteur.
De plus, chaque chapitre démarre avec un élément de propagande
pour le Protocole, donc prônant le fait que l’amour est une maladie, ce qui
permet parfaitement de comprendre ce monde futuriste effrayant, et c’est un
élément que j’ai beaucoup apprécié.
Les personnages quant à eux, sont un peu trop lisses pour être
tout à fait attachants, mais cela évolue au cours du roman, comme je l’ai
indiqué, et je pense que les tomes suivants vont révéler des caractères bien
plus intéressants.
Néanmoins, ce tome 1 manque un peu d’action à certains moments, et
certaines péripéties ne sont pas très surprenantes, au contraire, ce qui est
pour moi le point décevant de ce tome 1.
J’ai beaucoup apprécié cette lecture, j’ai déjà commencé le tome
2, et j’espère qu’il y aura un peu plus d’actions.
4 commentaires:
Hmmm, une chose est sûre je suis très impatiente de le lire, ce sera pour septembre je pense !
J'hésitais entre " Divergent " et " Delirium" ; les 2 m'intéressent dans le genre dystopie .
je me laisserais peut être tentée par celui-ci
Meilleur que Divergent ?? Alors là pour moi, ça n'a pas du tout été le cas, Delirium était plutôt creux pour moi et je me suis beaucoup ennuyée, contrairement à Divergent. C'est fou ce que chaque lecture est unique pour chacun de nous !
@Hajar : avec le recul, Divergent me laisse une meilleur impression en fait, j'ai toujours en tête certain passage, contrairement à Delirium, mais en fait, je crois que Divergent, je n'avais pas aimé la fin en fait, et du coup sur le coup ça m'avait laissé un mauvais sentiment.
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